The salon in Württemberg

por Pascal Quignard

Resumen

Sans nul doute Pascal Quignard compte au nombre des auteurs les plus prolixes de l'Hexagone ; il suffit de jeter un rapide coup d'oeil sur sa bibliographie pour avoir un juste aperçu de son incroyable "productivité". Et à chaque fois, un succès de librairie : Le Salon du Wurtemberg n'échappe pas à la règle. Là encore, Pascal Quignard prouve qu'il est passé maître dans l'art de la description psychologique de personnages tiraillés entre passé et présent, dans un univers qui force l'admiration du lecteur, par la précision des détails qui le sous-tendent. Le genre de ce livre ? Un roman bien sûr, mais un roman aux larges échos autobiographiques, quoi qu'il en soit : un musicien célèbre, retiré à Bergheim, dans le Wurtemberg, se remémore ses jeunes années, toujours emplies de couleurs et de sonorités, qui contrebalancent le poids des déchirures occasionnées par sa mère, qui l'abandonne alors qu'il n'a que quatre ans, et offrent un subtil "décorum" visuel et auditif à la nostalgie d'un ami perdu de vue, puis retrouvé. Nul n'ignore que Pascal Quignard est musicien, mélomane averti et qu'à ce titre, il a signé le roman Tous les matins du monde, sur lequel le film éponyme d'Alain Corneau s'est appuyé. Mais l'écrivain s'en défend : Le Salon du Wurtemberg n'est en rien un autoportrait. Le "mystère Quignard" demeure entier. --Pierre Guillaume

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